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« Excellence for a complex world » : une signature pour le monde de demain

La CGE lance sa nouvelle signature de marque 2010-2011 : l’enseignement supérieur au coeur des…
Publié le 22 mars 2011
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La CGE lance sa nouvelle signature de marque

2010-2011 : l’enseignement supérieur au coeur des débats de société

2010 fut une année riche pour les grandes écoles et les universités. De profondes réflexions ont été menées, entre autres, sur l’ouverture sociale et les défis internationaux pour l’enseignement supérieur français, thème du congrès bisannuel de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) en octobre dernier. De nombreux challenges sont d’ores et déjà annoncés pour 2011.
La CGE, aux côtés de ses membres, confirme son engagement auprès des sphères politiques, publiques, privées et associatives pour renforcer la compétitivité de la France sur la scène internationale.

Une signature, une vision, des publics

En ce début d’année 2011, la CGE lance une nouvelle signature de marque qu’elle entend faire vivre auprès de toutes ses parties prenantes et ses interlocuteurs (membres, étudiants, enseignantschercheurs, entreprises, institutionnels,…). Tournée vers l’avenir, elle reflète la posture des grandes écoles vis-à-vis des grands défis d’une société en mutation tant au niveau national qu’international :

  • l’ambition de former les futures élites mondiales,
  • l’attractivité des sciences et des métiers scientifiques (réforme des lycées, plan sciences,..),
  • la diversité des diplômés autant du point de vue de leur origine sociale, que de leur genre ou de leur éventuel handicap,
  • l’enseignement par l’apprentissage, ses approches pédagogiques spécifiques et le financement du dispositif…

Cette nouvelle signature capitalise, avec une forte volonté de modernité, le message historiquement au coeur de la communication de la CGE :

« former des décideurs citoyens capables de créer de la richesse économique et technique
mais également de la richesse sociale, culturelle et éthique»

Particulièrement cohésive, elle parle à tous les publics des grandes écoles françaises qui peuvent ainsi s’identifier aux valeurs associées.

Une signature, des valeurs, une mission

La nouvelle signature de marque vient également renforcer l’objectif principal de la CGE qui est de promouvoir tant en France qu’à l’étranger, le développement et le rayonnement de ses
établissements d’enseignement supérieur et de recherche, publics ou privés.

Exprimée en anglais pour renforcer cette notion ainsi que la visibilité internationale de la CGE et de ses membres, « Excellence for a complex world » est l’expression de l’engagement de la CGE pour faire rayonner l’excellence de la formation à la française dans le monde entier.

Un fondement différenciateur : culture générale et approche globale et et ntégrée des systèmes complexes

Un constat à l’origine : les étudiants diplômés des grandes écoles françaises se distinguent de leurs homologues étrangers par leur vision systémique des problématiques auxquelles ils sont confrontés dès leur entrée sur le marché du travail.

En effet, les 5 années passées à étudier dans les grandes écoles permettent aux étudiants d’appréhender leur domaine d’études dans son environnement global.

En ce sens, la culture générale acquise en amont, depuis le secondaire jusqu’aux CPGE et pendant les années d’études, est primordiale et correspond aux fondations nécessaires pour s’engager dans la voie de l’excellence tant académique que professionnelle.

2 pilliers pour un impact durable :

EXCELLENCE :
L’ADN même de la grande école : excellence, culture générale et spécialisation de haut niveau intégrant théorie et pratique.

La sélectivité des établissements se traduit donc par un recrutement d’étudiants à haut potentiel, intégrés soit par concours, après une classe préparatoire (50 % des admis), soit sur dossier (très bons résultats scolaires dès la seconde), en veillant à une diversité de profils et d’origine, gage de richesse.

Les élèves diplômés bénéficient d’une formation longue, 5 à 6 ans après le bac, plutôt polyvalente, privilégiant les connaissances de base d’une culture pluridisciplinaire solide, ainsi que l’acquisition de méthodes et d’outils de travail.

Les futurs diplômés ont un niveau de performance opérationnelle exceptionnelle à la sortie de l’école grâce à la diversité des matières enseignées, des conditions d’études (conditions réelles de travail en entreprise : concours et partiels semestriels sur le même format).

La forte autonomie des étudiants et leur expérience du monde de l’entreprise (stages avec une durée minimale de 6 semaines à 12 mois) sont deux atouts pour développer leur esprit d’entrepreneuriat.

La recherche fondamentale et appliquée intégrée dans les cursus et la diversité du corps enseignant (milieu académique, cadres d’entreprises, praticiens et professionnels expérimentés) donnent toutes les clés aux futurs diplômés pour jouer un rôle moteur dans le progrès de la société, par leurs fonctions dans les entreprises, les services de l’Etat et la recherche. La culture de la recherche du corps professoral intègre la formation et le processus même de production scientifique. Un tiers des doctorats français sont préparés dans les grandes écoles.

COMPLEX WORLD :
La sensibilisation des étudiants aux grands enjeux de société est l’une des forces des grandes écoles françaises. Tout au long de leur formation, les enseignants préparent les étudiants à travailler dans un monde complexe et en perpétuel mouvement.

Très impliquées tant auprès des institutions politiques qu’au sein des milieux économiques, les grandes écoles françaises garantissent ainsi l’adéquation des formations proposées (apprentissage, transferts de technologie, contrats de recherche).

Multipliant les séjours et les stages à l’étranger de leurs élèves, les grandes écoles opèrent, depuis une vingtaine d’années, un renforcement important de leur stratégie de développement international (enseignement des langues et des cultures étrangères dans les programmes).

Les étudiants sont préparés dès leur intégration à évoluer dans un contexte international grâce à des programmes spécifiques (cursus dans 3 pays différents, premiers cycles internationaux, cours d’été spécifiques), à la multiplication des accords (11 000 accords d’échanges, 1 500 doubles diplômes), et à la délocalisation des formations et l’implantation d’écoles françaises à l’étranger.

L’explosion du nombre d’étudiants dans le monde (200 millions attendus d’ici 2015) représente un nouveau défi pour la France : sa capacité à attirer les futures élites mondiales dans les universités comme dans les grandes écoles.

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